Régulièrement des virus émergents apparaissent, mais pas de panique, des solutions existent. En changeant nos comportements et en prenant soin de notre environnement, nous pouvons réduire la propagation des maladies. Le nanorevêtement antimicrobien Nano-Shield offre une protection innovante, efficace et durable, même contre les nouveaux variants.
Uniforme des médecins de la peste du XVIIe siècle.
Depuis son apparition sur Terre, l’humanité est frappée par des épidémies causées par des virus, des bactéries ou encore des parasites. Dès l’Antiquité, on retrouve des archives relatant les épidémies de tuberculose. On estime qu’à cette époque, cette infection bactérienne a entraîné 1,5 million de morts par an.
Au Moyen-Âge, on peut citer la tristement célèbre peste noire qui a tué 200 millions de personnes entre 1347 et 1352. Le virus de la variole n’est pas en reste avec ses 56 millions de morts. Dans les années 1980, grâce à la vaccination généralisée, ce virus a été éradiqué.
Entre le XVIe et le XIXe siècle, les épidémies se succèdent : fièvre jaune, dengue, choléra et peste de Chine provoquent des millions de décès.
La fréquence des épidémies accélère à partir du XXe siècle.
Depuis le début des années 1900, on observe une plus grande circulation des virus. Ainsi, parmi les maladies les plus connues, on peut citer :
La fréquence d’apparition des nouveaux virus accélère encore au XXIe siècle. En cause : la mondialisation avec le développement exponentiel des échanges de flux humains et commerciaux à l’international.
Depuis le début des années 2000, les Hommes ont fait face au SARS-CoV-1, à Zika, au MERS-CoV, à l’Ebola et au SARS-CoV-2, le fameux coronavirus de la COVID-19. De nouvelles épidémies n’ont de cesse d’émerger. Dernièrement, la variole du singe occupe les gros titres des actualités. Serait-ce le départ d’une autre pandémie ?
Gestes barrières préconisés par le gouvernement français, suite à l’épidémie de SARS-CoV-2.
D’une manière générale, deux axes sont à prendre en compte dans cette lutte contre les épidémies : renforcer l’immunité de nos organismes par la vaccination et limiter la transmission des pathogènes. Or, sur ce dernier point, nous sommes capables dès aujourd’hui d’agir de manière efficace, rapide et à grande échelle.
Une des façons les plus simples de se prémunir contre ses virus reste encore le respect des gestes barrières. Tousser dans son coude, éviter les contacts rapprochés avec les plus fragiles ou si des symptômes apparaissent, se laver les mains (au savon ou avec du gel hydroalcoolique) ainsi que l’aération fréquente est régulière des locaux d’habitation et professionnels sont les meilleurs moyens de ne pas tomber malade.
Néanmoins, des solutions complémentaires existent pour diminuer drastiquement la transmission aéroportée des virus ou par contact avec des surfaces contaminées. C’est le cheval de bataille des nanorevêtements qui attirent les microorganismes présents dans l’air sur les surfaces tout en ayant une action de désinfection continue et longue durée.
L’apparition et la propagation des maladies sont intimement liées à l’état de santé de notre planète. Aussi évolué soit-il, l’Homme et sa survie dépendent de son écosystème et des êtres vivants qui le constituent, tant animaux que végétaux.
Alors que plus de 9 000 espèces de virus sont répertoriées, seulement environ 200 d’entre elles sont capables d’infecter des cellules humaines. En effet, de nombreux germes qui se transmettent à l’Homme ont pour réservoir les animaux. On parle dans ce cas de zoonoses. Ces pathogènes représentent 3/4 des maladies infectieuses !
Parmi les plus connues, on peut citer le VIH dont le réservoir est les grands singes ou encore la grippe aviaire qui est transmise par les oiseaux migrateurs. Ces animaux sont porteurs des virus sans toutefois avoir de symptôme. Voilà pourquoi on dit qu’ils sont le réservoir de la maladie.
Le braconnage, la déforestation et l’élevage intensif du bétail augmentent le risque pour le cheptel d’entrer en contact avec la faune sauvage et par conséquent la transmission des maladies interespèces.
Entre le commerce, le tourisme et la surpopulation dans les villes, la circulation des virus à travers le monde se développe. Les vecteurs des maladies transitent dans les containers de marchandises et les voyages de plus en plus rapidement grâce à la démocratisation des échanges aériens. La proximité des habitants en milieu urbain et l’utilisation des transports en commun favorisent la transmission des affections au sein des populations.
Saviez-vous que le moustique est le plus grand vecteur des maladies humaines ? Il transmet de nombreux virus lors des piqûres tels que la dengue, le Zika ou le chikungunya. Autrefois considérées comme des maladies tropicales, les contaminations se propagent dans les zones dites tempérées en raison du réchauffement climatique. La hausse des températures rend accueillantes des régions auparavant exemptes de moustiques. Par exemple, le moustique tigre est détecté en France dans 58 départements aujourd’hui, alors qu’il n’était présent que dans 17 départements en 2013.
La déforestation et la pollution, causes d’un rapprochement artificiel des espèces animales vers l’Homme.
Protéger son écosystème afin que de nouvelles épidémies n’apparaissent pas, reste la méthode la plus efficace pour s’en protéger
À la manière des épines de cactus, certains nanorevêtement endiguent et détruisent mécaniquement les micro-organismes indésirables avant qu’ils ne se multiplient.
Les virus émergents se développent à grande vitesse, mais il en est de même pour les moyens de lutte. Les progrès scientifiques et technologiques permettent d’apporter de nouvelles réponses pour combattre les nouveaux variants.
Les vaccins et les traitements médicamenteux sont ceux auxquels on pense en premier lieu, mais les nanotechnologies font aussi partie de cet arsenal.
Paradoxalement, la Nature, que l’Homme détruit, est une source de solutions pour lutter contre ces maux. Ce principe se nomme le biomimétisme et est le fondement des nanotechnologies. Parmi les innovations issues de ces recherches, on peut citer les revêtements antimicrobiens. Appliquées sur les surfaces à protéger et en contact avec les usagers ou les produits, ces fines pellicules imperceptibles détruisent virus, bactéries et levures qui entrent à leur contact en perforant leur membrane.
Ce nouveau système de désinfection possède un énorme avantage sur les méthodes classiques : les agents pathogènes ne peuvent pas développer de résistance. En effet, ils agissent de façon mécanique sur les organismes contrairement aux agents chimiques ou aux antibiotiques auxquels les microbes peuvent devenir résistants si les conditions d’usage et les posologies ne sont pas respectées.
À la fois efficace, durable et écologique, le revêtement Nano-Shield est la solution idéale pour protéger les usagers des virus émergents et des épidémies saisonnières.
Inspiré par le biomimétisme, notre nanorevêtement est constitué de nanopiliers qui détruisent les agents pathogènes par désinfection mécanique. Nous garantissons l’efficacité de notre produit pendant au moins une année. Ainsi, vous pouvez utiliser le temps et l’argent consacrés à l’application de désinfectants chimiques à d’autres tâches à plus forte valeur ajoutée.
Notre solution est aussi très polyvalente puisqu’elle s’applique facilement sur une multitude de surfaces. Elle apporte une réponse efficace à la protection des usagers dans les transports en commun et dans les locaux professionnels tels que les bureaux, les administrations ou les établissements de santé.
Tout au long de son histoire, l’Homme a été confronté aux épidémies et à l’apparition de virus émergents. Le nombre d’épidémies émergentes accélère depuis le début des années 2000 en raison de la mondialisation des échanges, de la dégradation de l’environnement et du réchauffement climatique.
C’est en prenant soin des êtres humains, de la nature et de la planète qu’il sera possible de freiner la survenue de nouvelles pandémies.
En attendant, Nano-Shield est une réponse sûre et efficace pour la protection des personnes dans les espaces publics tout en répondant aux objectifs environnementaux.
Sources : INSERM et OMS
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